Vision 360° avec Inipi Conseil, comment ça marche ?

Phaser les étapes

  1. Dans un premier temps, le participant s’auto-évalue puis sollicite le point de vue des interlocuteurs avec lesquels il interagit régulièrement en milieu de travail : de sa hiérarchie, de ses collatéraux (pairs, interlocuteurs siège, etc), de ses collègues directs et, idéalement, de la plupart de ses subordonnés. Il est même possible d’inviter d’autres personnes tels des « clients », des partenaires, des bénéficiaires ou des bénévoles. Le participant pourra ainsi comparer sa propre perception avec celle dessinée par les autres.
  2. L’analyse des écarts entre la perception des différents groupes d’évaluateurs permet au participant d’approfondir sa connaissance de soi, ses ressources reconnues et de mieux saisir son impact sur les gens qui l’entourent. A partir de ces deux facteurs (la diversité des perspectives et l’analyse des écarts), le participant dispose des pistes d’amélioration et d’un plan de développement personnel.
  3. Lorsque la phase de recueil des perceptions est clôturée, le participant reçoit le rapport de synthèse. Ce document lui est confidentiel, il est le seul à pouvoir éventuellement en partager les informations. Une restitution dialoguée avec un coach est recommandée afin d’éviter les malentendus et de repérer les points déterminants.Une dynamique de changement
    Au-delà de la mesure individuelle, la production d’une synthèse d’ensemble fournit à l’organisation une mesure de ses forces et zones de progression. Le « Vision 360° » mis en œuvre par INIPI Conseil s’avère donc être moins un objectif de sondage qu’un support de développement. Correctement accompagné, en valorisant les ressources qu’il identifie, en appuyant les démarches de progrès, il est un outil fondamental du management et témoigne de la maturité et de l’ambition des organisations qui l’utilisent.

    Pour un processus impactant, 5 vigilances :

  4. Mettre en place un groupe pilote (exploration des thèmes, formulations, didacticiel, tests)
  5. Sensibiliser et exposer la démarche, impliquer les encadrants.
  6. Garantir la déontologie (anonymat des réponses, seuils de participation, confidentialité)
  7. Construire une temporalité adaptée (moments du collectif, gestion des relances, annonce de la clôture, remise des rapports)
  8. Inscrire dans une perspective d’accompagnement.
  9. Confidentialité des contributions et des résultats, co-élaboration, loyauté de la démarche, personnalisation de l’accompagnement constituent alors à la fois pour le participant et l’organisation une véritable opportunité de déploiement.